lorsque le medecin arriva a la maison il avait l'air inquiet,mon pere etait couché sur le canapé du salon avec une serviette humide sur la tete et il etait rouge,nous les enfants etions sage(pour une fois)le medecin demanda a ma mere si mon pere avait de la fievre.elle lui repondit en eclatant de rire,un fou rire a n'en plus finir!!mais non docteur mon mari n'a pas de fievre mais il a passé plusieurs heures dans le jardin en plein soleil et vous savez le soleil tape tres dur ,il etait sensé travailler et il s'est couché, l'appel du transat a ete la plus
forte.le medecin etait fort surpris par ces paroles et commença a
examiner mon pere.le verdict tomba rapidement c'etait une insolation,il dit a maman d'appeler les pompiers immediatement et nous demanda la salle de bain car il fallait refroidir papa en le mettant sous la douche froide.papa refusa catégoriquement ce traitement barbare pour lui alors, comme nous avions une piscine, le medecin l'attrapa sans menagement et le jeta tout habillé dedans en attendant l'arrivée des secours. lorsqu'ils arrivèrent mon pere fulminait et menaçait de faire subir milles sevices au docteur et a quiconque s'approcherait de lui. deux costaux se rapprocherent de la piscine pour l'attraper, tache au combien difficile, pendant ce temps là nous etions partis ,nous les enfants chercher une autre betise a faire.Nous partimes nous cacher derriere la maison et regardimes le spectacle.lorsque je me souvins de la vieille usine desaffecter pleine de mystere et de terrain de jeu pour nous;j'avais pris mon lance pierre et je voulais m'exercer sur les petits carreaux de la facade.j'etais tres bon a ce jeu là!!! chose pense chose faites, nous partimes en courant vers l'usine, ne nous souciant pas plus que cela de notre pere!!! en arrivant quelle ne fut pas notre surprise de voir de gros camions devant les bâtiments que se passait il?
des gens des villes etaient en train de regarder,de prendre plein de mesures avec des appareils tout bizarre,des ouviers ramassaient les cailloux et tout le materiel dans des grandes poubelles il y en avait une eloignee des autres je pensais a ces poubelles en plastique une belle cible pour ce que j'avais prepare comme projectiles: des cavaliers en fer pour tenir les fils electriques dans les maisons, j'en prend un dans mon lance pierre et je tire, malheureusement un gars se penche pour se saisir au meme moment de la poubelle imaginez il le prend mal placé dans le gras de la fesse se met a hurler bien sur "je vais voir tes parents petit garnement ! flute mon pere avec ses problemes allait surement me punir ;qu'allait-il se passer??? je me mets à rire comment pourrait-il aller voir mon père vu qu'il ne me connait pas !!! fort de ma decouverte je me mets à lui tirer la langue et à lui faire tout un tas de grimace tout en sautant en l'air mais tout d'un coup je fais une grimace de douleur je viens de me tordre la cheville en sautant et j'ai ressenti une douleur atroce . Je continuais mon chemin tout en clopinant .d'un seul coup j'entendis la voix de ma mere ,hurlant a plein poumons ,en nous appelant :"je sais que vous etes par là vous ne perdez rien pour attendre"comme ma cheville me faisait souffrir je marchais doucement.je baissais la tete
car je comprenais que la punition allait etre severe ma mere nous voyant arriver nous dit votre punition qui durera un mois sera la
suivante : vous irez tous les mercredi au refuge pour aider les benevoles au service des animaux !!! et si je le decide vous irez trois
mois,pour moi tout n'allait pas trop mal ,avec ma cheville mais c'etait sans connaitre ma mere!!!elle avait plus d'un tour dans son sac.Je decidais donc de devenir toute sage pour que ma mére ne soit pas plus en colére.Par contre je trouvais que la punition était super car j'a
toujours aimé m'occuper d'animaux malheureux.mais j'avoue que j'en oubliais completement de demander a ma mere des nouvelles de mon pere.d'un seul coup j'avais peur car mon pere ,etait rouge de colere et du coup de soleil,je me risquais a demandé si mon pere allais mieux,ma mere me repondit qu'ils l'avait emmener pour plus de securité;car il était quand meme bien brulé.et elle vit ma cheville qui avait doublé de volume encore en colere elle me dit :je vais m'occuper de toi ,garnement tu ne va pas t'en tiré sous pretexte que tu as mal a la cheville!!Pour me défendre un peu je commençais à pleurer en pensant que je me ferais pardonner.je pensais aussi a
l'ouvrier qui avais reçu le cavalier mal place et je me l'imaginais
couche sur le ventre, un medecin au dessus de lui ,en essayant de le
lui enlever.et je pleurais de plus belle car s'il n'arrivait pas a lui
oter il ne pourrais plus s'asseoir,donc plus manger et il allait
surement falloir l'operer ou pire encore .j'entendais ma mere me parler ,mais loin ,tres loin ,car j'etais dans le brouillard le plus complet.
Je me trouvais dans mon lit lorsque j'ouvris les yeux, le medecin etait penche sur moi et etais en train de me tenir le poignet en regardant sa montre
Accueil 
!!! De quel cavalier tu parles 
les u que l'ouvrier a recu dans le gras de la fesse ça s'apelles des cavalier (merci au lion qui me l'à rappeller) 
pour le renseignement tigresse mais sais plus où j'en suis qd mm 
